Les virologues, les épidémiologistes, les infectiologues, les cliniciens, les médecins de la santé publiques et les responsables politiques s’interrogent?
Les virologues s’intérrogent sur l’origine du virus, transmission inter-espèces « naturelle » ou accident de laboratoires?
Les épidémiologistes sinterrogent sur les modes de transmission privilégiés par ce nouveau venu, goutelettes de Flugge, aérosolastion ou manuportage avec les conséquences que l’on imagine en termes de prévention. Ils veulent aussi comprendre les mécanismes par lesquels certains facteurs (age obésité, diabète…) influent sur la gravité de l’infection.
Les infectiologues s’interrogent sur la qualité et la durée de l’immunité conférée par l’infection qui conditionnent en partie l’évolution de l’épidémie et les possibilités de vaccination.
Les cliniciens s’interrogent sur la diversité et la gravité des tableaux cliniques rencontrés, bien loin des affections respiratoires saisonnières auxquelles ils sont rompus. Ils sont surtout en attente de traitements à l’éfficacité démontrée lors des diverses phases de la maldie.
Les médecins de santé publique et les responsables politiques s’interrogent, parfois avec retard, sur le role des diverses méthodes de détection et de protection sue l’évolution de l’épidémie (tests virologiques et sériologiques)
masques, distanciation sociale, traçage, confinement, isolement, quarantaine…).
Tous les soignants s’interrogent sur la probabilité d’une deuxième vague.
Tous les citoyens s’interrogent sur leur avenir, proche et lointain, et sur celui de leur pays?